Le Procès

La salle du conseil, salle qui avait vu des tonnes de larmes, de sourires tombés, de vies détruites et de banissement, car celle-ci servait aussi de cour de justice. Dans cette grande salle, il y avait plusieurs chaises disposées en forme rectangulaire, sur deux colonnes, pour laisser ainsi trois passages aux "spectateurs", deux aux extremitées Gauche et Droite, et un au milieux, qui est réservé aux membres du conseil et à l'accusé.

C'est en se jour plus ou moins ensoleillé que serait décidé l'avenir de Kayman, jeune guerrier Zokugun qui avait affronté Kardaël, mais qui avait perdu contre ce chevalier de grande stature. La salle se remplissait très vite. Ce n'était pas a tout les jours qu'un Zokugun était amené devant la justice. D'habitude, ils étaient tués sur le champ par leurs adversaires, qui ne souhaitaient que de voir ces "traitres" découpés, déchiquetés sur le sol, implorant la merci de leurs bourreaux, que pour se faire éléminer une bonne fois pour toute, dans la peine et la souffrance. Par contre, tous n'étaient pas aussi cruels. Kardaël, lui, avait un opinion différent. Sa façon de voir l'humanité était bien plus avancée que celle de la majorité vollageoise, qui se cotentait de répeter et faire répeter à leurs enfants chaque jours, le même "les Zokugun sont méchants, ils sont des traitres et veulent notre mal, il faut les vaincre" continuellement pour s'assurer que le lavage de cerveau ne s'estomperais pas. Après tout, une armure se nétoye mais se sali bien aussi, non?

La salle était finalement pleine. Comme si tout le village était venu dans l'espérance de voir un "méchant Zokugun" se faire jeter aux cachots pour l'éternité, ou même pour le voir rejoindre l'éternité tout de suite. Sympathiques ces Villageois, non? C'est normal, après tout, les Rebels Étaient leurs Ennemis Jurés, et avaient surement emporté un ou deux membre de leur famille dans la mort...

Puis, la procession commenca. En tête de ligne se trouvait Végan, Le juge et grand chevalier Teikoku, l'un des membres du Trio de Kardaël. Directement derrière, Kardaël et Tyraël, un à côté de l'autre, le suivaient d'un pas très peu hâtif. derrière eux se trouvait Blaycia, qui faisait parti des membres honoraires de l'assemblée du jour, sous demande de Kardaël, dont les raisons étaient inconnus. Suivant la jeune magicienne, deux autres Chevaliers portant des boucliers-tours aux bras et une épée à la hanche marchait aussi un à côté de l'autre, et étaient suivi par un lancier. derrière le lancier se trouvait l'accusé, Kayman, qui était bien surveillé par les six Chevaliers qui, en formation colonnes, fermaient la marche.

Végan prit place sur sa chaise, qui se retrouvait en haut d'une série de marches dont la longeur prenait la moitié de l'avant de la salle. Kardaël, Tyraël et Blaycia prirent place sur les chaises disposées à la gauche de celles du Juge, alors que Kayman prit place sur une chaise écartée du reste du groupe, au bout du passage de gauche. Les Six chevaliers prirent place autour de l'accusé, et les lanciers resterent debout des deux côtés de Kayman. La salle était bruyante. des pleurs d'enfants, des rires de gens se racontant des histoires de guerre ou des rebels se retrouvaient en mauvaise posture, ou encore des cris d'insultes dirigés vers le "futur mis a mort". Végan fit signe a Kardaël de s'approcher. Il lui chuchotta quelques mots, puis, le chevalier aquiessa. Il retira son casque, le déposa sur une petite tablette insallée à la droite du Juge, se plaça devant celui-ci, puis, il prit un respire. puis, un puissant cri retentit dans la salle. "Silence!" Hurla Kardaël, dont la voix portante engloba toute la salle. Tout les gens présent furent comme paralysés suite à ce cri. Plus personne n'osait bouger, ni chuchotter. Même les mouches avaient peur de se faire entendre. silence total... Jusqu'a ce que Végan Annonce le début de l'assemblée...

"Bienvenue, frères et soeurs, je suis heureux de voir que tant de personnes s'itneressent à ce qui se passe dans ce village. Pour ceux qui ne me connaissent pas, je me nomme Alexander Végan Deruel Altearess, Juge d'Aegis, et membre de la Garde d'Ignea-Aegis. Mon devoir est de s'assurer de la protection et la sécurité des Villageois, ainsi que de juger les accusés si ils sont fautifs ou non, et quelle sentence doit être appliquée. Nous avons donc aujourd'hui, pour m'assister à mon devoir, mes deux partenaires de la garde, Sir Tyraël dyel-tö Teikoku, le Faucon d'Aegis, ainsi que Sir Kardaël Del'reanel Vel-Karnak, le Garde d'Aegis. Deux honorables chevalier qui ont été très actifs dans la protection de notre village sur la dernière attaque des Rebels. Aussi, nous avons une invitée très spéciale, dame Blaycia Vel-Daël Teikoku , qui fut suggéré par mon partenaire Kardaël pour nous assister dans notre tâche. J'aimerais aussi remercier plus amplement Sir Kardaël, pour nous avoir ammené cet homme devant la Justice!"

tout à coup, le silence de mort qui jetait un froid glacial sur la pièce s'envolla, vaincu par la chaleur des applaudissements de la foule, qui souhaitait remercier, peu importe la manière, le chevalier qui avait ramener un Zokugun pour que celui-ci se soumette à la Justice. Ces Applaudissements, Ces sourires... Si énervant pour le jeune homme qui savait que ces applaudissement n'était pas pour les avoir proteger, mais bien pour leur permettre de peut-être voir un de leurs ennemis mis a mort. Le chevalier sèra les poings d'une force incroyable pour tenter de contenir sa rage. Oui, il rageait, de voir que le monde était si cruel, si stupide... alors que le chevalier mis la main sur le manche de son épée qui était rangée à sa hanche, le Juge vit dans ses yeux la colère, et en même temps la tristesse indescriptible qui l'englobait, le dévorait lentement de l'interieur. Il ne fallu que ce geste pour que Le Juge à son tour Rapelle à l'ordre les villageois Teikokus, avec un autre appel au silence, moins fort que celui de Kardaël, mais ayant tout de même une certaines prestance, qui fut suffisante pour faire taire l'assistance...

"je vous prierait de garder vos applaudissement pour plus tard. Ceci est une audience de Justice, soyont du moins un minimum civilisé, et donnont tout de même un peu de respect à l'accusé. Il a beau peut-être être un meurtrier, il reste tout de même un être humain comme vous et moi..." Rapella Végan à la population villageoise.

Comme Vous et moi...

*Non, ce n'est pas vrai...Ce ne sont plus des humains, ce sont des monstres, assoiffés de vengeance...Ils ne veulent que voir la tête d'un Zokugun, Tranchée sous guillotinne, puis rouler au sol... Ils veulent voir ses entrailles pourir, sont sang couler, sècher sur le sol...Ils veulent voir son cadavre être dévoré par les corbeaux alors qu'eux ils seront entrain de festoyer au tour d'un feux, la bouteille à la main, se rapellant des exploits de guerre, et se réjouissant d'avoir vaincu un Rebel... Non, ils ne sont pas Humain... Ils sont bien pire...*

"Merci. maintenant, commençons..."

*La journée Risque d'être longue...* pensa Kardaël

(HRP : Kayman, le post est fini, contacte moi par MSN, on va faire ton post à deux )

Kayman suivit docilement ses gardes jusqu’à la salle du conseil. Quoique que considérant la garde qui l’accompagnait, la docilité ne semblait pas une option mais bien une obligation. Il en était à se demander si autant de chevaliers s’avéraient nécessaire pour garder à l’ordre un seul Zokugun, désarmé de plus. Mais lorsqu’il entra dans l’endroit où se déroulerait son procès, une constatation presque horrifiante lui apparue soudainement. Considérant l’émotion qui émanait de la foule, les soldats étaient là pour prévenir une émeute ou son assassinat plutôt que pour protéger la population.

Le jeune prisonnier traversa l’aller, prenant un soin particulier à ne pas lever le regard de ses pieds malgré le flot d’injure continue qui marqua son passage. Ils n’en avaient pas assez de se régaler de ce spectacle ??? Il allait falloir qu’il souffre encore plus, que la peur qui se lisait dans son regard envahisse entièrement son visage pour que ceux-ci soient contentés. Pourtant il ne voyait pas comment il pourrait en supporter plus. Ses vêtements étaient en lambeaux, tellement tâchés de sang et de poussière qu’on avait de la difficulté à en distinguée la couleur réelle. À peine remis de ses blessures de la veille et ayant passé la plus grande partie de sa nuit entre une inconscience comateuse et la terreur la plus totale, le garçon semblait totalement épuisé. De larges cernes s’étiraient sous ses yeux, contrastant sur son teint livide. Il lui semblait que le sol perdait sa consistance et le rebelle semblait prêt à s’effondrer à chaque pas.

Le chevalier le plus près de lui dû presque tirer le prisonnier jusqu’à la chaise qui lui était réservée. Celui-ci s’y assit sans opposer de résistance, fermant les yeux un instant pour échapper à la sensation de tournis et à la panique qui montait lentement en lui. Pourtant, il finit par s’autoriser un regard vers la foule. Il le regretta aussitôt tellement la joie qui émanait de l’auditoire bigarré semblait sincère. Ça le rendait malade. Il s’appliqua le reste du temps avant l’audience à fixer le bout de ses pieds, tentant vainement de repousser la crainte qui le tenaillait. Puis tout d’un coup Kayman fut tiré de ses réflexions, pour la première fois depuis son entrée, la salle était silencieuse. Le garçon leva la tête, pour tenter d’en discerner la cause. Mais avant qu’il ait pu, les présentations d’usages commencèrent, terminer par des applaudissements chaleureux pour Kardaël, celui qu’il considérait comme son geôlier ou son bourreau selon les évènements.

Kardaël bien sûr, le grand guerrier sans tord et sans reproche… Pourtant en s’attardant un peu sur sa silhouette, il lui sembla un instant que le Teikoku rageait. Il devait se faire des idées, son village l’acclamait. Il était le héro du moment, et lui le méchant de l’histoire. Pourtant, son geôlier avait bien suggéré que Blaycia assiste le juge dans sa tâche. Pour ceux qui connaissaient parfaitement la situation, il était clair que le chevalier lui donnait ainsi une chance de s’en sortir sain et sauf. Mais, Kayman ne se faisait pas d’illusion sur les sentiments de son étonnant protecteur. Il le faisait pour Blaycia, pas pour lui.

Alors que le prisonnier profitait de la soudaine effervescence de la foule pour mieux détailler des juges, le silence se fit de nouveau, oppressant et glacial, vite rompu par les paroles de Végan.

Meurtrier… un être humain… comme vous et moi…. C’est là qu’il se trompe. Ils ne me jugent que comme un criminel, tout juste bon à être pendu. C’est définitivement le pire merdier dans lequel je me suis foutu. Peu importe ce que Blaycia et Kardaël font, ils ne me laisseront pas m’en sortir. Je ne m’en sortirai pas…

Cette conclusion frappa l’esprit du Zokugun, le laissant encore plus chancelant qu’auparavant. Il n’avait aucune chance… aucune… chance…

- Jeune homme, lève toi et viens ici.

À cet appel, l’interpellé refit de nouveau surface dans le monde réel pour dévisager un instant Végan qui hors de tout doute s’adressait à lui, désignant l’espace vide en bas des marches. D’un pas toujours aussi mal assuré, Kayman s’exécuta, aussitôt suivit par les chevaliers. Pourtant, n’étaient-ils pas un peu moins autour de lui? À moins que ce fût qu’une impression… le jeune prisonnier ne pris pas le temps de compter ses gardes. Son regard fixait le juge, dont la position l’obligeait à lever les yeux pour l’apercevoir. Quelques instants après que le guerrier eu pris place, la première question fusa.

- Quel est ton nom?

Elle était d’une banalité tellement renversante pour la situation que si ce n’eu été que de la peur qui le rongeait, il aurait éclaté de rire. Il prit tout de même soin de s’exprimer de façon clair et de la voix la plus portante dont il était capable dans l’état où il était, quoique la foule qui se trouvait dans son dos ne compris probablement pas sa réponse.

- Je m’appelle Kayman…

Et alors, une question dont il ne s’était jamais réellement soucié le frappa. Il n’avait qu’un prénom, alors que se fiant aux longs discours des présentations, ici il était la norme de connaître son nom complet. Gêné par ce manque, le garçon rajouta quelques secondes après;

- J’ignore mon nom de famille…

Le silence qui marqua sa réponse ne s’étendit pas et le véritable interrogatoire commença. Kayman s’efforça de répondre de façon brève et précise sur le ton le plus neutre dont il était capable. Parfois, ce qui se trouvait autour de lui recommençait à perdre sa consistance, donnant à l’accusé une étrange impression de vide, mais dès que ça se produisait celui-ci serait les poings jusqu’à s’enfoncer les ongles dans la peau pour se maintenir conscient.

- Pour qu’elle raison t’es-tu allié aux Zokuguns ?

- Des gardes Teikokus ont tués mes parents quand j’étais jeune et ils me cherchaient pour me faire subir le même sort malgré le fait que j’étais encore un enfant. J’ai dû m’enfuir et les rebelles m’ont recueilli, depuis je suis avec eux.

- Et comment t’es-tu retrouvé devant le conseil du village ?

- J’étais parti chasser, alors que j’ai rencontré Kardaël, N’aurait-il pas dû l’appeler Sir comme il entendait sans cesse Végan le faire? Peu importe, il était trop tard pour y penser… Celui-ci s’apercevant que je faisais parti des Zokuguns me défia. Ne pouvant pas refuser, j’ai accepter le combat, mais j’ai dû abandonné la lutte après m’être blesser. Il, cette fois il préféra ne pas le nommer par crainte de commettre une impolitesse devant le conseil, décida donc de m’emmener au village. Une fois ici, je me suis retrouvé confronté au combat de deux de mes alliés, sans réfléchir j’ai décidé d’aller les aider. Nous avons une fois de plus perdu le combat. Après j’ai été amené aux prisons et je n’en suis sorti que pour venir ici.

Kayman se mordit la langue. N’aurait-il pas dû donner plus de détail? Se montrer plus poli? Après tout, Kardaël lui avait bien mentionné que son avenir dépendait grandement de l’impression qu’il ferait ici. Le garçon ferma les yeux et respira profondément. Lorsqu’il retrouva la réalité, il semblait un peu moins nerveux, attendant que Végan reprenne la parole.

La vie, vous savez, est comme un jeu d'échec. Parcontre, il n'y as qu'un seul problème avec cette métaphore : C'est que jamais dans un jeu d'échec, un cavalier ne pourait se revirer contre ses alliés. La trahison, c'était bien sûr impensable, et souvent, la trahison ne pouvait que, biensûr, reçevoir comme punition la seule punition qui empêcherait à jamais quiconque de recommencer à faire défauts à ses amis. C'est à dire, la peine de mort. Parcontre, malgré tout cela, il arrivait que des gens se retournent subitement, faute d'idéaux correspondant, et c'Est dans ces moments la que les gens, disons, d'une famille, sont mit le plus à l'épreuve... Pourquoi je vous dit tout ça, me dites vous? Eh bien, vous n'avez qu'a lire la suite...

L'intérogation du jeune Zokugun du nom de Kayman se passa très bien. Il sembla que celui-ci ne retint aucun mot. En fait, il y aurait eu quelques mots qu'il aurait pu remodeler pour mieux paraître, mais dans l'ensemble, le jeune homme s'était pas mal débrouillé... Ceci dit, pour un total attardé, un traître, un... bon, dites-en ce que vous voulez, mais il n'était sûrement pas le genre d'ange à qui on accordait des sentances plus douces, par raison de confiance...

Il avait Relativement bien et directement expliqué les deux évènements qui l'avait emmené ici, en cour, sans vraiment sansuré non plus ses faits et gestes, mais sans nomplus aller trop dans les détails. Il avait, pour un ennemi, relativement bien paru durant l'intérrogation. Végan semblait relativement... Non pas content, mais satisfait de ce qu'il entendait, ochant de la tête positivement de temps en temps durant que Kayman expliquait la situation-cause de sa présence. Par contre, une des personnes qui assistait à l'évènement n'était probablement aussi satisfait que le juge. Il serrait durement ses poings dans ses gants de métal, ses dents grinçaient dûrement et son regard empli de frustration voulaient tout dire : Tyraël sentait que la mort ne serait pas la punition du jeune homme... et ça, il n'allait pas laisser passer ça si facilement...

Végan se mit à frotter son front avec son pouce et baissa la tête pour réfléchir. Kardaël sentait qu'il ne voulait pas si stupidement mettre à mort un... "innocent (dans tout les sens)" comme Kayman. Après tout, il n'avait fait de mal à personne (grâce à l'intervention du garde D'aegis, cela-dit, mais tout de demême...). Il ne mériterait jamais une telle punition, mais Kardaël se rapella que Végan avait parlé, dans les prisons, de mettre le jeune homme au travail... Eh bien, en voilà une belle manière de rendre rentables les traîtres! Le juge du village de Teikoku se leva alors. Allaît-il réellement annoncer sa sentence sans même avoir l'Avis des conseillers? Eh bien, ça en avait tout l'air...

"Mes frères, mes soeurs... Faisont un marché."

Déja la, ont pouvait entendre des murmurs dans la foule, et malheureusement, ces murmurs n'étaient vraiment pas tout très approbateurs...

"Entendont nous déja sur le fait que ce jeune homme n'ait causé, à ce que l'on peut voir, de mal à personne. Il fut prit trop vite d'assault par notre Chevalier Kärdaël pour cela. On ne peut donc pas vraiment établir de conclusion sur sa volonté. Je vais donc, par soulagement, lui assuré qu'il ne subira pas la peine de mort! Nous allons plutôt le mettre au travail et, peut-être avec un peu de chance, l'intrégrer parmi notre société. C'est une tentative que je fait, mais je la fait pour le bien de l'avenir de notre monde. C'est en essayant qu'on arrive à des choses... C'est en travaillant qu'on arrive à un monde meilleur. Je demanderai donc aux gardes d'escorter le jeune homme au banc d'attente. Nous passeront au suivant en attendant que sa sentance soit décidée..."

Deux Gardes armées de lances escortèrent donc Kayman vers un petit banc qui était en retrait de la foule, mais duquel on avait tout de même une belle vue sur toute la salle. De l'autre côté totalement de la pièce était situé un autre banc sur lequel attendait Aramil. Il semblait avoir regagné légèrement confiance depuis le procès du jeune Zokugun, mais, selon son regard, n'aimait pas voir la frustration dans le visage de Tyraël...

"Que les gardes fassent venir le prochain accusé..." dit Végan devant cette foule totalement silencieuse qui ne savait plus trop quoi penser.

"Non..." murmura Tyraël

Deux autres gardes, qui étaient postés derrière les conseillers se levèrent pour aller chercher Aramil, mais furant brusquement stoppés par Tyraël, qui leur bloqua le passage de tout le long de son bras.

"Non, Celui-la va en enfer!!!!" hurla le Faucon D'aegis, qui détacha un couteau de combat de sa hanche, qu'il propulsa à une vitesse étonnante en direction de l'assassin Zokugun, qui n'eut pas le temps de l'esquiver et qui eut la tête déchirée en deux à cause de l'arme. C'était à présent le chaos, et tout le monde craignait que l'autre Zokugun se rebelle à la vue de cet évènement non pour le moins choquant. Kardaël se leva en vitesse hurlant à Kayman de se tenir tranquille pour son propre bien et se dirigea en direction de... ce qui, semble t'il, ÉTAIT son allié...

(Il est tard, mais je donne un petit avant-goût. Je fini demain )

*C'est dans la vie que l'on créé de nouvelles choses hein?*



*C'est dans la mort que l'on créé de nouvelles choses hein?*



*C'est dans l'existance que l'on créé de nouvelles choses hein?*



*Mais si l'on n'existe pas... on ne peut pas créé la mort, hein?*



*Alors... j'ai fait mon choix...*

et oui, il avait fait son choix. Le crane revola en morceaux au sol, oblitéré par la poigne destructrice de cette main gantelée, qui appartenait à un homme qui avait fait comme choix d'empêcher son meilleur ami d'enfance d'avoir existém peu-importe à quelle époque. Il commença par oblitérer son crâne pour l'envoyer rapidement à la mort, mais ce n'était que le début. Il allait faire disparaître le pauvre homme. Ou en tout cas ce qu'il fut été. Était-il sur de ses gestes? L'aimerait-il mieux mort après tout ces crimes, ou vivant avec une nouvelle chance... de faire encore plus de bordel?...

Retournons en arrière, voir ce qui s'est réellement passé...