une rencontre inconfortable

Aramil entra dans un refuge, et comença à y aiguisé ses 11 lames. Couteau de lancer, dague coup de poing, rapière, tout y passa. Quand soudain, Il entandit un bruit tout près. Le plus rapidemment possible et le plus silencieusemment possible, Il se cacha avec une dague dans chaque main. c'est alors qu'il vu Kayman entré. la roue d'aiguisage continuait à tournée... pas très subtile.

- hé ho! il y a quelqun? j'ai entendu du bruit!

en un éclair, sans qu'il ne puisse s'en rendre compte, Kayman avait une dague sur la gorge et l'autre qui pointais directemment dans son dos. Aramil dit doucemment dans l'oreil du jeune homme:

- dit moi immédiatemment qui tu est ou je te lacère comme une tranche de jambon.

Si Kayman avait paniqué sur le coup, il retrouvait maintenant son calme habituelle. Il s'accoutumait lentement au comportement excentrique de l'assassin. Pourtant, leur cohabitation dans l'espace restreint du refuge ne se faisait pas sans heurts. Il fallait seulement espérer que les bons moments effaceraient les conflits fréquents.

- J'ai déjà vu des accueilles plus chaleureux...

Croyant que l'attaquant verrait sa méprise, Kayman tenta de se dégager. L'étreinte se resserra un peu plus, la lame dessinant un trait sanglait sur la gorge sans protection du guerrier.

- Lâche moi Aramil !

(ton post me visait un peu )

Aramil, le poussa sur le mur et le prit maintenant par le collet en appuyant fermemment sa dague sur le coup de Kayman.

- devrais-je te tuer tout de suite ou peut-être t'attacher et te couper lentemment toute les extremité de ton corps. je ne te lâcherai pas tant que tu m'auras pas dit ton nom. Tu devrais me le dire... tu es en très mauvaise posture pour ne pas répondre.

- toi tu es en mauvaise posture pour me menacer mon cher.

Aramil descendit sa tête et vu une lame qui pointais vers son ventre sans y toucher. Il le relacha aussitôt et recula de quelque pas.

- je veux quand même savoir ton nom!

- Pourquoi je te le dirais-je ?

Le guerrier se refusait de céder au chantage d'Aramil. Ce genre de personne l'énervait au plus haut point. Et puis, il devait bien savoir son nom. Il y avait maintenant longtemps que tous deux cohabitait...

Il se décolla lentement du mur qui obstruait ses mouvements, forçant par la même occasion l'assassin à reculer. Il paraissait hargneux et la situation menaçait de dégénérer rapidement. La perspective d'un combat à l'intérieur même du clan n'enchantait guerre Kayman, mais Aramil devrait bien comprendre la leçon un jour...Le silence pesa un moment, presque aussitôt percé par une voix moqueuse et tranchante;

- Alors ? Tu n'as pas d'autres armes que la menace ?

Cette pointe de sarcasme serait peut-être la goutte de trop, mais il détestait être forcé.

Aramil, n'aimait pas ça du tout. Il se fesais ridiculiser par une personne qu'il connaissait mais son nom l'échapais toujours. Bien qu'il n'aimais pas le tont de celui-ci, il esseya de rester calme cette fois ci puis rengea ses armes.

- Désolé. je ne t'avais pas reconu Kay... je ne me rappelle jamais de ton nom. Dit-il en ofrant une poigné de main solidaire.

- j'essai d'être le plus méfiant possible ces temps ci. Mes amis ne sont pas toujours ceux qu'ont crois, et mes ennemis, ceux qui devraient l'être.

Kayman accepta la poigné d' Aramil toujours aussi méfant.

Kayman remit à son tour son épée au fourreau et sera un peu à reculons la main qu'Aramil lui tendait. Il détestait ce genre de personne qui attaque avant même de savoir qui était leur cible. La vengeance semblait si attrayante.

- Tu as raison... il ne faut jamais se fier au apparence...

D'un mouvement rapide, le guerrier se glissa derrière Aramil, lui plaçant un court poignard sur le cou. La situation semblait inversée. L'assassin voulu à son tour reprendre ses armes, mais Kayman aperçut son geste et l'arrête en appuyant sur sa lame.

- Laisse tes mains où je peux les voir. Je crois que tu me dois des excuses pour tes mauvaises manières.

Aramil rigola un peut. Il à une lame rétractable sur son poignet. (sur la photo). Après la rigolade. d'un geste très rapide, il sorti ça lame de son poignet juste sur le bord de celle à Kayman. Il repoussa celle-ci, donna un coup de coude dans le ventre à keyman, et se remi en même position qu'a son arriver. c'est-à-dire, une dague sur la gorge de Kayman, et l'autre pointant dans son dos.

- il faut toujours ne laisser qu'un choix à son adversaire. coopérer.

Il donna un violant coup de coude dans le dos de Kayman, juste assez pour lui faire perdre pied pour qu'il s'effondre, puis s'enfuit à l'exterieur en direction de teikoku.

Kayman percuta brutalement le sol de l’abri. Il y resta un moment étendu, à moitié assomé, endolori par les coups de l'assassin. Seul le bruit que provoqua la fuite de son attaquant le sorti de sa léthargie. Sans vraiment réfléchir à ce qu'il faisait, Kayman se releva et parti à la poursuite d'Aramil.

Dès qu'il le rattrapa, le jeune guerrier lui bondit sur le dos et les deux hommes roulèrent sur la terre boueuse de la forêt. Après un court combat, Kayman parvient à immobiliser Aramil contre le sol, le plaquant fermement au niveau des épaules et immobilisant le poignet armé de l'assassin dans un étau.

- Tu penses peut-être que tu peux m'attaquer comme ça et t'enfuit après sans demander ton reste ? C'est quoi ton problème ? On n'a pas besoin de fouteur de merde au campement...

Aramil le regarda fixement.

- tu as suivi le conseil que je t'es donné. c'est bien. sache que je n'ai fait ça que pour te tester... "capitaine".

- comment?

Aramil essaya de se dégager. Kayman coopéra. dès qu'il fut relevé, Aramil comença à lui parlé de son experiance.

- tu vois, quand je rencontre des personne aussi arrogant et perspicasse que toi, j'essai de leur aprendre quelque truc. je m'excuse par la façon que je te l'ai appris, mais il fallait bien que tu le vois par toi-même. tu n'est pas assez méfiant. j'avais laisser la roulette d'eguisage rouler pour te mettre sur la piste. tu vois?

- Je vois, tu es excusé...

Il se releva à son tour, réajustant distraitement ses vêtements. Un sourire narquois éclairait le visage du guerrier.

- Alors tu me juges comme une personne arrogante ?

- euh...

Cette fois, Kayman ria de bon coeur. Il savait parfaitement la réponse et n'en éprouvait aucune honte. Il secoua la tête pour chasser les mèches pâles qui lui obstruait la vision avant de dévisager un moment l'assassin. Il lui semblait digne de confiance...peut-être qu'après tout, il l'avait mal jugé...

Aramil regarda brèvemment Kayman avant de parler.

- je vais allé voir ce qui se passe dans Teikoku. Peut-être sont-ils en train de se préparé à nous attaquer.

Quelque seconde après avoir dit ça, Aramil entendit un petit bruit. pas très fort, mais juste asez pour qu'ont l'entende.

- BAISSE TOI!

Il se jeta sur Kayman, l'évitan d'un piège par la même occasion. Ils se fesais attaquer. Aramil se leva de sur Kayman pour allé derrière un arbre.

- mais qu'est-ce que c'était?!?

- arette de parlé et prépare toi à te battre.

Des barbares comença à avancer. certain tiraient de l'arc, et d'autre fonçais en courant. Aramil pris une dague de lancer et le lença, évidament, sur un des archer.

- en tout cas, on a un gros avantage!

- mais nous sommes en minorité!

effectivemment, les barbare étais à peux près six.

- ouais mais leur quotien réeuni équivaut au tien!

ria t-il en lançant des dague sur à peux près tout les barbares archer.

- ils vraiment résistent ceux là!

Aramil était tanné. dès que le barbare fut à sa porté, il lui rentra une dague dans le cou, et déguèna son épée.

- allez! approchez si vous l'osez!

Il en restaient trois. les trois étaient avec des épée à deux main.

Kayman se releva dès que les flèches arrêtèrent de siffler au-dessus de sa tête. Trois de leurs attaquants gisaient déjà sur le sol. Il prit lui-même son épée pour faire fasse à ceux qui restaient. Le combat fut rapide puisque les barbares n'utilisaient aucune ruse et se contentait de frapper droit devant eux avec leur lourde épée.

Après avoir rangé ses armes, le guerrier observa avec un certain dédain les cadavres entassés près d'eux. Leur équipement ne lui disait rien et la raison qui avait pu les pousser à s'éloigner autant de leur territoire. Kayman chercha l'assassin des yeux, ils avaient été séparés par la bataille. Il le retrouva un peu plus loin, appuyé contre un arbre. Du sang tâchait ses vêtements et s'accumulait lentement sur le sol...

- Ça va ?

- On peu voir ça comme ça...

Une large entaille parcourait le torse d'Aramil et une partie de son bras gauche. Le responsable de la blessure reposait à ses pieds, une dague profondément enfoncé entre les deux yeux...

Aramil asseya de recouvrir sa plait, mais évidament, elle était bien trop grosse. Ses vêtemment était couper par une très longue entaille.

- au moin il n'a pas trop soufert!

dit-il en rigolant et en gémisant en même temps. disons qu'une ouverture de cette empleure ne passais pas inaperçu. le sang giclait un peux partout. Il lui fallais une plante bien spécial pour arêter l'émoragie.

- tu connais la fleur des roi?

- bien sur! c'est de la mauvais herbe!

- apporte moi en pour que je puisse arrêter l'émoragie.

Aramil perdait beaucoup de sang. bien sur, trouver une plante spécifique dans un forêt n'est pas tâche facile. dès que Kayman en trouva, Aramil en mâcha et étendit la mixture sur sa plait.

- je pense que cela devrait sufire pour le voyage.